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    La FNSEA et accoyer (à droite sur la photo, à gauche l'OGM kadhafi) hurlent à la démagogie, au "procès en hérésie"... Bové ne pourra que crever de faim quand le parlement aura pondu une loi pro-OGM !

    préfiguration demain dans le JDD ;

    "Un comité provisoire, baptisé Haute Autorité, vient de rendre, dans l'urgence, un avis controversé. Les scientifiques qui le composent ont publiquement fait savoir qu'ils se désolidarisaient de l'interprétation des conclusions données par le président de cette instance", écrit-il.
    "Notre pays peut-il durablement engager l'avenir, sur la base de cet avis fragile et hâtif, comme s'il suffisait d'un coup de plume ou de faux pour proclamer la mort des biotechnologies végétales ?", s'interroge encore le quatrième personnage de l'Etat qui s'était déjà élevé jeudi, devant la presse, contre cette décision.
    "La question des OGM est complexe. Elle met en jeu notre conception même du progrès et de la société. Elle est porteuse d'avancées considérables pour notre recherche qui paierait cher une décision d'interdiction", ajoute Accoyer.
    "Il ne s'agit pas d'ignorer le principe de précaution (...) Il s'agit de fonder notre décision sur la raison, d'autoriser ou d'interdire sur la base d'arguments scientifiques irréfutables."
    "C'est au Parlement, lieu du débat démocratique, qu'il revient d'établir, dans l'objectivité et la sérénité, en nous appuyant sur les avis des experts, un cadre juridique clair et stable pour reconnaître et définir le droit de produire et de consommer, avec ou sans OGM", ajoute-t-il, alors que de nombreux parlementaires sont opposés à une suspension des OGM.


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    Simone Veil avait dénoncé la campagne indigne menée contre sarkozy au soir du 1er tour.


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    Simone Veil formulera collégialement le pré-préambule à la constitution...!

    Alors rajoutons-en dans l'indignité...


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    http://www.lepost.fr/article/2007/12/18/1069736_sarkozy-aime-les-langooustes.html

    Parfois les confidentiels du nouvelobs, sont très drôles, rien à ajouter...................

    Sarkozy n'a jamais été un gastronome, mais il a des caprices. La veille du conseil des ministres qu'il a récemment délocalisé le 31 octobre dernier à Ajaccio, il est pris d'une envie de langouste digne d'une femme prégnante. Il lui faut des langoustes, beaucoup de langoustes pour lui, pour ses ministres et pour ses grands vassaux corses. Les services de la présidence sont chargés de mettre en œuvre ce grand dessin. Ils choisissent un restaurant, Chez Jeanjean, près du port. Mais Jeanjean a pris des vacances et se trouve à Paris. On lui enjoint de renter dare-dare. Très vite, une difficulté apparaît. Elle est de taille : la pêche à la langouste est interdite en Méditerranée en cette saison. Le président balaie cette objection d'un revers de main : il trépigne, il veut des langoustes, point barre. Les affaires maritimes accordent alors une dérogation à quelques pêcheurs pour leur permettre d'enfreindre la réglementation en toute sécurité. Mais le monde est plein de jaloux. On ne sait pas exactement qui a balancé, peut-être un notable furieux de n'avoir pas été invité à cette langouste-party, mais l'affaire s'ébruite. Elle menace de virer au scandale écolo. L'Elysée prend les devants. Sans se démonter, il publie une mise au point affirmant que les langoustes venaient de Brest! François Caviglioli


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  • On apprend dans Le Canard enchaîné que l'homme qui justifiait sa faramineuse augmentation de 206% par un souci de transparence perçoit toujours depuis le 6 mai son salaire de ministre de l'Intérieur ! Bling-bling. On se souvient de l'augmentation du salaire présidentiel que s'était généreusement accordé Nicolas Sarkozy. Elle se justifiait par une volonté de "plus de transparence". Du moins avait-il osé le prétendre - mais n'est-il pas celui-qui-ose-tout ? La bonne blague ! En fait de transparence, on a d'abord eu droit à la valse des chiffres : la majorité a commencé par évoquer 140% d'augmentation, avant de corriger à 172, jusqu'à ce qu'on s'aperçoive, grâce aux calculs précis du député socialiste René Dosière, que l'augmentation était en réalité de 206% ! Le Président lui-même, pris la main dans le sac, en flagrant délit d'enrichissement personnel non justifié - il est déjà logé, blanchi et nourri dans le luxe inouï de notre monarchie républicaine -, avait tenté de noyer le poisson. De son explication embrouillée ressortait que Jacques Chirac, en plus de son salaire de Président, touchait un complément en retraites variées, pour lesquelles il avait cotisé durant sa carrière politique. Et que les Français ne le savaient pas et qu'il fallait désormais que tout se sache. On ne voit pas du tout la pertinence de l'argument mais passons. Ce qu'avait oublié de nous dire Sarko-la-transparence à ce moment-là, c'est que lui-même, depuis le 6 mai, avait demandé - et évidemment obtenu - de continuer à percevoir son... salaire de ministre de l'Intérieur !

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