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Par buznik le 4 Novembre 2006 à 16:22
Le "Papé" chauffait ses os près de la cheminée. Il n'avait plus de dents, marmonnait souvent mais on le respectait car il était le souvenir d'une force vive transmise à ses enfants.
Quand le petit dernier a sauté sur ses genoux, pour le taper à tour de bras, le cercle de famille a crié au scandale...
Mais c'était pour sauver sa barbe de l'incendie, allumé par l'étincelle éclatée de la bûche de la cheminée...
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Par buznik le 4 Novembre 2006 à 16:09
"Une victime est identifiable, racontable et montrable à la télévision, c'est tout ce qu'on veut sauf quelqu'un d'humain. C'est un objet, un autre, un pauvre !"
(Extrait de "dernier avis avant la fin du monde" de Xavier Emmanuelli)
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Par buznik le 4 Novembre 2006 à 16:06
Des mots s'échappent.
Des silences aussi.
Peu de choses changent ?
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Par buznik le 4 Novembre 2006 à 16:03
En effet : "ces hommes et femmes meurtris, blessés, ignorés, doivent être abordés avec rigueur et compétence, avec attention et respect mais leur grand déficit n'est pas matériel - ces gens souffrent surtout de manque d'amour.
Qu'on les aime un peu, ils s'aimeront peut-être."
(extrait de la préface - par Xavier Emmanuelli - de "Naufragés de la ville".)
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